Textes

ok

Anges déchus :

Ange renvoyés sur terre
Ange déchus par le père
En arrachant leurs grandes ailes Bannis à jamais du ciel
Anges d'artificces
Anges sans sacrifices
Vivant que de luxure
Et d'actes impurs
Anges de la mort
Anges sans remords
Se prenant pour un roi
Sans pitié ni lois
Anges déchus par le père
Renvoyés aux enfers
Remontant sur la terre
Pour corrompre nos frères
Anges déchus
Anges perdus
Anges aux ailes déchirés
Vivant comme des dépravés
Méfiez-vous des anges sans ailes
Des rebus du ciel Pour ces anges habiles
Vous êtes des proie facile

Sachant que dans quelques milliard d´années le soleil s´éteindra(oui il s eteindra aps en un coup mais bon on va tous perir a cause du soleil niké!),toute forme de vie existance ne survivra pas au froid glacial qui reignera sur notre terre,nous ne serons alors qu´un éphemere petit bout de vie dans tout cet univers,peuplé d´autant de galaxie qu´il soit....Les gens qui vivront a cette époque.imaginez la crainte qu´ils auront,bien sur d´ici la une bone partie de la population sera decimée par la maladie,l´élimination naturelle.Et une autre partie moura atrocement de faim,ou sera exploitée,d´autre ettouferont par la pollution,il n´y a qu´a voir l´état des villes,sans parler de celle qui sont parmis les plus peuplées de cette planete.Les gens doivent sortir avec un masque pour ne pas ettoufer et moisir dans la rue.Imaginez,tous ces enfants qui ne connaitrons jamais la vie paisibles,se sera comme de nos jours,mais en exponentiel.Bien sur les gens riches eux auront forcement trouvé un moyen pour aller sur une autre planetes,mais els pauvres eux..Le Fossé deviendra de plus en plus important entre les paures et les riches,il ne reste qua naitre du bon coté de la balance,malheureusement pourquoi se soucier de cela maintenant?Puisque nous n´y vivront plus,oui,mais....Justement,Ne soyont pas egoiste,en s´acharnant sur notre propre sort,de notre epoque deja des gens meurent de faim,et nosu apssons notre vie a nous plaindre parce que l´on nous offre la chance d´avoir un bon metier et faire plien de tune ( ),car ces gens la..eux n´ont meme aps la possibiliter de se plaindre.vu qu´ils ont faim,au moins arreteez de vous plaindre.Mais la je m´égare.. mais pour vous dire que sachant la fin du monde,je me rend comtpe du ridicule de notre existance,de la superficialité des gens. pourquoi etre malheureux puisque de toutes facons un jour nous mouront tous,pathetique vie,payer l´addition par exemple,meparait tant superficiel..
Etre a la mode me le parait.pourtant nous vivons dans la vie de tout els jorus. et ne pouvons y changer. si jamais quelqun a reussi a me suivre car mon etat mental est tel que parfois je n´arrive pas meme a exprimer ce que je ressent.

Les litanies de Satan

Ô toi, le plus savant et le plus beau des Anges, Dieu trahi par le sort et privé de louanges,
Ô Satan, prends pitié de ma longue misère!
Ô Prince de l'exil, à qui l'on a fait tort, Et qui, vaincu, toujours te redresse plus fort,
Ô Satan, prends pitié de ma longue misère! Toi qui sais tout, grand roi des choses souterraines, Guérisseur familier des angoisses humaines,
Ô Satan, prends pitié de ma longue misère! Toi qui, même aux lépreux, aux parias maudits, Enseignes par l'amour le goût du Paradis,
Ô Satan, prends pitié de ma longue misère!
Ô toi qui de la Mort, ta vieille et forte amante, Engendras l'Espérance, - une folle charmante!
Ô Satan, prends pitié de ma longue misère! Toi qui fais au proscrit ce regard calme et haut Qui damne tout un peuple autour d'un échafaud,
Ô Satan, prends pitié de ma longue misère! Toi qui sais en quels coins des terres envieuses Le Dieu jaloux cacha les pierres précieuses,
Ô Satan, prends pitié de ma longue misère! Toi dont l'oeil clair connaît les profonds arsenaux Où dort enseveli le peuple des métaux,
Ô Satan, prends pitié de ma longue misère! Toi dont la large main cache les précipices Au somnambule errant au bord des édifices,
Ô Satan, prends pitié de ma longue misère! Toi qui, magiquement, assouplis les vieux os De l'ivrogne attardé foulé par les chevaux,
Ô Satan, prends pitié de ma longue misère! Toi qui, pour consoler l'homme frêle qui souffre, Nous appris à mêler le salpêtre et le soufre,
Ô Satan, prends pitié de ma longue misère! Toi qui poses ta marque, ô complice subtil, Sur le front du Crésus impitoyable et vil,
Ô Satan, prends pitié de ma longue misère! Toi qui mets dans les yeux et dans le coeur des filles Le culte de la plaie et l'amour des guenilles,
Ô Satan, prends pitié de ma longue misère! Bâton des exilés lampe des inventeurs, Confesseur des pendus et des conspirateurs,
Ô Satan, prends pitié de ma longue misère! Père adoptif de ceux qu'en sa noire colère Du paradis terrestre a chassés Dieu le Père,
Ô Satan, prends pitié de ma longue misère!

Corvus a écrit:

C'est un copier/coller !

C'est pas une raison en soit...

Un moment de souffrance
Un moment de douleur
Aucune tristesse de s'épleure
Aucun sourrir ne s'adresse
Ton malheure est présent
Ton bonheur et ailleur
Ainsi tu implORE
les démon a travers cieux
sans aucun chemin de traverse
Ta tristesse reste présente
Ton sourrir est innocent!
L'ange te fait vivre
Le diable te reprend
Sans aucune humilité
Tu reste sans merci
Mais qui dit ton lendemain restera peut tétre
Présent a jamais!!!!!!!!
le diable est présent a travers nous
mais toi tu n'est que sans pitier
et tu tenlace parmit eux

C'est de toi ?

ben c'est l'histoire de squikky le pinson

c'est un pinson qui avait trop manger il se posa sur un reverbere et criait "degager intrus ou je vous fiente dessus !"

mais malheureusement personne ne comprend le pinson et il recoivent un ver digéré chaque fois qu'il passe.

Mais un jour se fut un barbare qui passa, il recut comme promit un cadeau du pinson et le barbare lui planta sa massue dans le pinson

moral de l'histoire : il faut parfois changer ces habitudes sinon on risque d'avoir de mauvaise nouvelle

Ca sent l'acide par ici..... (comprenne qui pourra)

Normal vu qu'il y a un reflet

lenny_barr a écrit:

pk effacer mon texte?..
mon texte c comme vos texte comme vous les faite.s c juste sorti par moi....
c pour sa qu il son different en fait.
vous symboliser linnccaptation de ma perosnalité.
s'en est aberant. sachant que j'ai tjr été fiedel ej ne fais que d etre moi. et voila le resultat. au moin j essaye de raisonner logikement a comprendre les autre plutot que de me plaindre et servir a quelque chsoe. a voir els gens comprennent pas

Moi je ne fais que défendre la langue française, après tu peux écrire presque ce que tu veux, du moment que tu l'écris bien ... Tu n'as pas compris ça encore ?

Tu sais plus c'est imcompréhensible moins on va lire tes textes (d'ailleurs les fautes m'ont découragé et je ne l'ai pas lu) donc tu as tout à gagner à faire gaffe à ton orthographe.

Enfin moi je dis ça je dis rien hein.

purle mais osef? Ca veut dire quoi ça?

edit dart : évite les double post

Bon, j'ai un peu nétoyé !...

OSEF=On S'En Fou, et non Lenny, on s'en fout pas des fautes, c'est écrit dans la charte ! Je ne suis même pas sûre que quelqu’un es pris la pêne de lire, et encore moins qu'il est comprit le sens de tes phrases !

Perso j'ai regardé les deux premières lignes et regarder de loin le texte, bu toutes les fautes bah edit direct

J'ai écrit un petit texte. Peut être que je le continurais...

La goutte de sang coulait sur la joue. Suivit d’une jumelle. Puis d’une autre. Puis d’une autre. Ainsi de suite jusqu'à l’infini. Elles coulaient toutes sur la joue, la même joue ; la tête était inclinée sur le coté. Elle filaient toutes d’une plaie béante qui partait de l’œil gauche jusqu'à la bouche, et se jetaient dans la boue alors rougeâtre.
Cet amena terreux liquide était alimenté par la terre de la plaine et par la neige qui tombait. Cette même neige qui venait, maintenant fondre sur le sang chaud. Dans quelques heures, le corps serait recouvert de blanc, ainsi que les nombreux idem qui l’entouraient. Tous avec des même gouttes de sangs qui filaient par-ci par-là, sur ces chaires inanimées, contenues dans du métal.
Les armes de ces nombreux guerriers trônaient à coté de leurs propriétaires, comme un chient qui attend près de son maître, mort, hurlants à la mort, comme les loups qu’on entendait au loin.
L’hiver sera rude, ils le sentaient très bien. Et ils chantaient les louanges de leur survie d’un même cri. Le cri de la mort.

hier je me sui alonger sur des bout de verre
spécialement aiguiser
mon dos ronger par ces douleur
mon corp brule par la chaleur des enfer
satan a décider de me couper la téte
pour que je deviennent un vanpire des ames
mais cella échoua a cause de mon géller a cause
de mon coeur aracher
est mon ame ce consuma jusqu'a ma condanation final

Un texte qu'un pote a écrit :

C'était un matin d'hiver ,où, comme tous les matins à Turktown je me faisais, avec une extrême douceur, réveiller par le bruit de la fine pluie
qui tombait sur mon toit de tuile; mes réveils étaient rythmés par le ruisselement des gouttes qui peu à peu venaient s'écraser sur mon rebord de
fenêtre. Je passais toujours quelques minutes à somnoler avant d'enfin émerger . J'enfilais mes pantoufles , pris mon gobelet, avalai mes calmants et là, j'étais prêt à affronter cette rude journée .Tranquillement je me levai, me dirigeai vers ma fenêtre puis ouvris mes volets. Au bout d'une vingtaine d'années je ne m'étais toujours pas lassé d'admirer chaque matin ce paysage de brume, ce quartier, cette tranquilité qui était accompagnée seulement du bruit de quelques sabots de chevaux qui s'entrechoquaient sur les pavés usés par le temps.

J'étais plongé dans mon monde et ne m'occupais plus de rien, quand soudain le bruit de la porte cochère me fit revenir à la réalité. Comme je vivais seul avec mon épouse Lucienne, une femme très jolie toujours de blanc vêtue, les cheveux en bandeau, un nez plutôt rond et de petits yeux très clairs , cela m'étonna et mon premier réflexe fut d'aller à sa chambre. J'ouvris la porte et ne vis rien d'autre que son lit ,vide; j'allai toucher ses draps, ils étaient encore chauds elle devait donc être partie depuis peu.

Ce n'était pas dans ses habitudes de sortir de si bonne heure et cela m'inquieta. En sortant je constatai sur son bureau qu'elle n'avait pas touché à sa clé et me dirigeant vers le couloir je commençai à devenir nerveux ; mes calmants n'ayant pas encore fait effet je retournai , sans même y penser , à ma chambre puis, en repris peut être plus qu'il n'en fallait. J'étais là au beau milieu de mon couloir, les mains moites , le front dégoulinant de sueur et étant pourtant un homme de nature courageuse, je devais l'admettre: j'avais peur , peur de ce qui était
arrivé à ma femme , de ce qui allait m'arrivé ou peut être tout simplement peur de mon imagination qui sans raison m'aurait terrifié.
J'étais suffoquant, mais lentement je repris mon souffle, puis avançai dans mon couloir vers l'escalier. Je m'agrippai à la rampe et m'apprêtai à descendre , quand, en bas, près de la porte j'apercus une ombre qui traversait mon hall d'entrée et se dirigeait vers mon salon.Aprés une courte hésitation, je descendis sans faire de bruit et allai la rejoindre; je regardai cette personne qui me tournait le dos:elle portait une veste noire, était face à notre cheminée; elle me paraissait assez grande sous son vêtement. Je ne devais en aucun cas me faire remarquer.
Je fus pris de panique, sortis du salon , me dirigeais vers ma cuisine où se trouvait la collection de poignards de ma femme; j'en saisis un , il était assez grand en argent , une magnifique lame tranchante, pointue , et un manche sur lequel il était inscrit "à ma fille Lucienne" .C'était un cadeau , son présent le plus cher, le plus précieux car il avait été forgé par son père quelque temps avant qu'il meurt ; je le tenais en main alors, n'ayant plus qu'une seule chose à faire, je me dirigeai vers mon salon passai la porte et m'approchai doucement. N'étant plus qu'a quelques pas et dans l'inconscience la plus totaleje portai le premier coup, j'enfonçai brutalement mon arme dans son dos à plusieurs reprises avant de l'entendre hurler. Ce cri m'arrêta car il était celui d'une femme . Aussitôt je lachai mon poignard, et observai cette personne s'écrouler à plat ventre sur le tapis. Je fus soudainement pris par une incertitude, alors je m'agenouillai pris son bras puis la retournai.

C'est à ce moment là, que je me rendis compte que j'avais détruit ma vie,quand,
je reconnu mon épouse. C'était le spectacle le plus horible et le plus douloureux
que j'avais eu à subir durant ma longue vie. Je ne pourrais vous dire combien de temps je suis resté à sangloter sur le dos de ma pauvre femme, à me demander pour quelles raisons était-elle sortit ce matin là, qu'est-ce qui m'avaitpoussé à faire ça,avant d'aller chercher une corde dans ma remise .Je retournai au salon l'accrochai à la poutre fit un noeuds puis saisi une chaise.

Quelques jours plus tard la police du quartier me retrouva pendu dans mon salon, mon épouse à mes pieds, assassinée de quatorze coups de poignard
dans le dos.

La mort n'est pas une chose sérieuse,la douleur si.

De ce monde mon ame souffrait
Elancée vers la mort
Malfaisante dans mon corps
Ou le sang débordant
N'était que présent
Seul je disparaissait

Fait par:MOI

C'est sympa !

Merci ^^